Tout d’abord, il a fallu réaliser les ruches: socles, hausses, toits. Toute la fabrication est locale à partir des plans, parfois modifiés, fournis dans le livre
L’apiculture écologique de A à Z
Pour le bois et dans un premier temps, Christophe a remmené des planches d’épicéa lors de ses voyages dans les Vosges. Après épuisement du stock, l’approvisionnement fut plus local ,en achetant à la scierie du village des bois plus durs : pin Douglas de l’Ardèche et cèdre du Ventoux.
La ruche en image est en épicéa
Les abeilles se sont bien habituées à toutes ces essences
Le cèdre est le bois le plus agréable à travailler (son odeur est délicate) puis vient le pin Douglas qui est le bois le plus dur