Les vidéos suivantes montrent la reprise d’activité des ruches à la sortie d’un hiver qui, bien qu’humide, n’a pas été très rigoureux.
Les abeilles l’ont bien supporté et semblent repartir avec de bonnes ailes (à défaut d’un bon pied)
Où trouvent elles ce pollen jaune et orange ?
C’est l’essaim capturé à Signes l’année dernière chez Jean-Paul, l’animateur Warré du gaegapi
Le lève hausses
Contrairement à l’apiculture « traditionnelle » qui rajoute les hausses par le haut et ne tiennent pas compte de la manière de travailler des abeilles qui, dans la nature, construisent leurs rayons du haut vers le bas, dans la méthode Warré, les hausses sont ajoutées par le bas en dessous des hausses existantes.
C’est un des principales difficulté de cette méthode, car ce n’est pas simple de soulever manuellement deux ou trois hausses remplies de miel.
Nous avons donc réalisé un lève hausse pour faciliter les opérations
Cet article est en préparation
Plusieurs contraintes ont été prises en compte pour déterminer l’emplacement du rucher:
Notre choix s’est fixé à proximité d’un olivier centenaire pour faire de l’ombre et au pied d’un mur de restanque pour abriter du vent d’Est
Le dallage a été réalisé avec des dalles de 50x50x5
Le rucher avec ses 5 ruches
En cours d’écriture
Tout d’abord, il a fallu réaliser les ruches: socles, hausses, toits. Toute la fabrication est locale à partir des plans, parfois modifiés, fournis dans le livre
L’apiculture écologique de A à Z
Pour le bois et dans un premier temps, Christophe a remmené des planches d’épicéa lors de ses voyages dans les Vosges. Après épuisement du stock, l’approvisionnement fut plus local ,en achetant à la scierie du village des bois plus durs : pin Douglas de l’Ardèche et cèdre du Ventoux.
La ruche en image est en épicéa
Les abeilles se sont bien habituées à toutes ces essences
Le cèdre est le bois le plus agréable à travailler (son odeur est délicate) puis vient le pin Douglas qui est le bois le plus dur
Bienvenue à toutes et tous
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Deux raisons principales: le changement d’hébergeur et de moteur
Non ce n’est pas pour écourter le trajet que les abeilles se font la courte échelle. Un jeune chercheur et spécialiste des abeilles nous apprend que c’est la chaine cirière
La chaine en vidéo : suivre l’abeille qui monte le long de la chaine
La chaine cirière from GAILLARD Francois-Marie on Vimeo.
Cette année; une seule récolte plus tardive (décalage d’environ un mois) et moins abondante que l’année précédente. mais elle parait « honnête » par rapport à toutes les » complaintes » entendues auprès des apiculteurs tant amateurs que professionnels. Des hausses pleines de miel ont été laissées aux abeilles pour appliquer ainsi la consigne:: prélever ce qui est raisonnable pour la bonne vie de la ruche
C’est parti
En route vers l’extraction
Peu d’abeilles, le chasse abeilles a bien fonctionné
Les ouvrières (pas les abeilles) au travail
Les mains sont propres !!!!
Pour nous, avoir des ruches n’est pas seulement récolter du miel mais permettre à tous et surtout aux enfants de mieux connaitre la vie des abeilles dans toutes leurs activités dans la ruche et la nature. La ruche Warré est pour cela idéale.
L’extraction manuelle est un moment magique pour les enfants. Merci les abeilles
Par tophe le mercredi, octobre 17 2012, 13:44 – Lien permanent
La vie de ce blog reprend après un long sommeil. Rassurez vous les abeilles n’ont pas été abandonnées pendant ce temps et elles n’ont pas chômé La meilleure preuve est la bonne récolte de cette année, au total:
Les ruches (bien après la fonte des neiges), après avoir enlevé les chasses abeilles
Du rucher à la « miellerie »
Les abeilles ont elles perdu le Nord (magnétique), dans certaines hausses, elles construisent d’une façon anarchique. C’est peut être du à l’amorce sur les barrettes qui n’est pas rectiligne?
Dans notre miellerie (la cave), l’extraction
C’était en début 2011.
D’une Langstroth ayant survécu pendant 5 ans sans soins (c’est une longue histoire entre amis) et qui est la base de notre expérience apicole, nous décidons de faire un grand saut et de migrer vers une autre méthode d’apiculture plus naturelle.
Après de nombreuses recherches et conseils, nous avons décidé d’utiliser la méthode Warré adoptée et adaptée par Jean-Claude Guillaume :
L’apiculture écologique de A à Z
